Quand ton entourage devient ton accélérateur

Hier, je parlais de l’impact qu’un mauvais entourage peut avoir sur nous. Aujourd’hui, j’aimerais aborder l’inverse : le positif qu’une bonne équipe peut nous apporter.

On dit souvent que nous sommes à cinq personnes de n’importe qui dans le monde. Mais à mon avis, pour peu qu’on s’en donne les moyens, on peut réduire ce nombre à deux.

Je prends l’exemple de la façon dont j’ai commencé à écrire.

Tout est parti de mon cousin Ronel, passionné de psychologie, de lecture et, par ricochet, d’écriture. Il a inspiré son petit frère, Christian Mael, qui m’a ensuite inspiré et donné envie de m’y mettre.

Dans le même temps, Ronel a aussi inspiré Raoul, qui lui-même en a sûrement inspiré d’autres.

Aujourd’hui, j’ai un blog dans lequel je publie quotidiennement depuis septembre 2024. Ça m’a permis de rencontrer des personnes avec qui j’ai eu des échanges très enrichissants sur les sujets que j’aborde, et certains sont même devenus des partenaires en affaires.

Revenons à ce principe d’être à cinq personnes de tout le monde :

par son impact, et grâce au fait d’avoir transformé ou simplement permis à certains proches de développer des qualités qu’ils ignoraient, mon cousin a indirectement fait grossir son carnet d’adresses.

S’il avait besoin d’être “rencardé” ou accompagné dans un secteur maîtrisé par l’un de mes lecteurs, je lui ferais immédiatement la connexion. Simplement parce qu’il est à l’origine d’une chaîne de talents.

Aujourd’hui, Raoul, dont je lis les textes chaque jour, m’aide à m’améliorer dans ma façon de relater, de tenir en haleine le lecteur. Pourtant, j’ai commencé à écrire avant lui, mais c’est lui, maintenant, qui m’aide à faire un bond… au point de gagner une trentaine de nouveaux lecteurs.

Oui, un entourage peut être extrêmement utile mais seulement si on décide d’investir en lui. Inéluctablement, il nous le rend toujours.

Georges DEFO